Les campagnes : prochaines victimes du Grand Remplacement

Jusqu’à la fin des années 1990, immigration rimait avec urbanisation. Les petites villes et villages de France, de l’Aveyron à l’Anjou, ne connaissaient des affres de l’immigration massive que les images diffusées sur les écrans de télévision. Pourtant, la paisible campagne allait bientôt devenir un refuge pour des milliers de Français fuyant les grandes villes, se sentant étrangers dans leur propre pays. Aujourd’hui, cette France rurale se trouve à son tour menacée par l’incapacité de nos gouvernants à juguler les flux migratoires. Puisque la digue civilisationnelle risque désormais de rompre dans les agglomérations, nos dirigeants dérivent le flot incessant des demandeurs d’asile et de réfugiés vers des territoires jusqu’alors préservés, arguant que chacun doit « prendre sa part » dans cet « effort collectif ».

La France rurale contre la répartition autoritaire des migrants

En Bretagne, en Vendée et partout en France, les petites villes et les villages sont désormais contraints d’accueillir et d’entretenir des migrants que nos frontières poreuses ont laissé passer. Mais ce déploiement ne se déroule pas sans accroc. Dans la France profonde, le peuple français n’est pas encore éteint. Il demeure en lui la force de mener des combats pour la survie
de son peuple, de sa civilisation. Après la bataille de Callac, gagnée contre les délires d’un fonds privé qui voulait « redynamiser », avec la collaboration active du maire, cette commune rurale vieillissante par un apport massif de migrants, après la démission du maire de Saint-Brevin face aux mobilisations de même nature, d’autres villes et villages de la France périphérique ont su résister à ces tentatives de bouleversement progressif de la population française. Ce fut le cas dans une petite ville tranquille de 3 500 habitants, ancrée au cœur du Tarn.

Face à l’opposition tenace des habitants de Réalmont, qui ont élu un député Rassemblement National à 57 %