Immigration
Roubaix : le pochon et la burqa
Roubaix est connu pour sa contamination à grande échelle par l’islam radical. Mais un autre fléau ronge la ville : le trafic de drogue. Nous nous sommes rendus dans ces quartiers qui vivotent sous la coupe des dealers et avons recueilli le témoignage d’un policier de la commune. Ici, ce sont les dealers et les imams qui font la loi, enhardis par la démission des pouvoirs publics.
En 2022, la France découvre, via le reportage de Zone Interdite, que la ville de Roubaix est rongée par l’islamisme. Poupées sans visage, restaurants équipés de boxs fermés pour cacher les femmes qui voudraient se dévoiler au moment du déjeuner, association d’endoctrinement salafiste visant les enfants et subventionnée par la mairie… Le documentaire montre un condensé du processus de radicalisation de la ville et le blanc-seing octroyé par les élus aux islamistes.
Dans certains quartiers, la mairie recule et laisse place aux imams. Mais l’islam radical n’est pas le seul mal qui gangrène la ville : la police renonce, elle aussi, à garantir la sécurité de certaines zones, et les dealers de drogue font aujourd’hui la loi.
Quartiers quadrillés par les dealers
On ne traverse pas la rue Voltaire en voiture comme on sillonne n’importe quelle allée. Des individus en survêtement sont fichés à chaque intersection et nous scrutent avec attention à chacun de nos passages. « C’est la particularité de Roubaix, les dealers ont de très gros effectifs », témoigne un policier qui souhaite garder l’anonymat.
Cette organisation rend la traque des points de deal particulièrement difficile pour les policiers : « Dès qu’on s’approche d’un secteur, les guetteurs envoient notre localisation et le modèle de notre véhicule aux dealers, ils sont instantanément prévenus ». Le nombre très important de dealers rend encore plus délicats les contrôles, les policiers pouvant se retrouver encerclés par une cinquantaine de personnes en « quelques minutes ».
Quand l’État passe l’éponge et la jette
Ici, les voitures de police sont souvent caillassées par des voyous postés sur les toits, et les policiers se retrouvent parfois face à des chariots remplis de briques préparés avec soin par les dealers à proximité des p
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