Société
« La Gaîté Lyrique n’est pas un centre d’hébergement d’urgence », les salariés du lieu pestent son occupation par 400 migrants

Les salariés de la Gaîté Lyrique, une salle culturelle symbolique de la capitale, ont lancé un nouveau cri d'alerte concernant l'occupation de leurs locaux par environ 400 migrants mineurs. Dans un communiqué de ce jeudi 30 janvier, ils expriment leur inquiétude face à la dégradation des conditions sanitaires et à l'impact sur l'activité culturelle du lieu.
Depuis mi-décembre, la Gaîté Lyrique, située dans le IIIe arrondissement de Paris, est occupée par des migrants mineurs. Bien que les salariés affirment soutenir les 400 occupants, ils restent « plus que jamais inquiets sur l’après ». Dans leur communiqué, ils demandent une « résolution rapide de la situation » par une mise à l'abri des jeunes. Ils assurent que leur lieu de travail n'est pas un centre d’hébergement d’urgence.
Conditions de vie de plus en plus difficiles pour les occupants
Les conditions de vie des migrants occupent également un point central dans l'argumentaire des salariés. Alors que le nombre d'occupants a doublé depuis le 10 décembre, les conditions sanitaires des lieux se dégradent de jour en jour. Les employés notent une augmentation des tensions et des risques, exacerbée par l’hiver. Le collectif des jeunes migrants, principalement constitué de demandeurs d'asile mineurs, réclame un toit et la reconnaissance de leur minorité.
L’occupation de la Gaîté Lyrique a surtout entraîné l’annulation de la programmation culturelle de l’établissement depuis le 17 décembre. En conséquence, les salariés dénoncent un chômage partiel et une absence de solutions concrètes pour relancer l'activité. Leur quotidien se résume désormais à l’annulation, au report ou à la délocalisation des événements, avec peu d’espoir de résolution rapide de la situation.
Les migrants ont déposé un recours devant le tribunal des enfants, une procédure qui pourrait prendre plusieurs mois. En attendant, les salariés appellent la Ville de Paris à soutenir le projet culturel de la Gaîté Lyrique et à garantir la pérennité du lieu. Ils s’obstinent à réclamer une solution d’hébergement alternative pour ces migrants.
À lire aussi : Paris : un détenu dangereux s'évade lors d'une sortie organisée au musée
7 commentaires
vert10
Que ces gens du spectacle gauchiste et bobo...boivent jusque a la lie....les mna qu'ils adorent .. Quand , le théâtre sera en faillite . De toute façon le cochon de contribuable sera toujours là pour payer ..
Signaler un abusgrimberic@yahoo.fr
Ces salariés ont de belles âmes...je suis certain qu'ils vont les prendre chez eux !!!
Signaler un abusLibrefiere
Qu'ils dégustent! Ils donnent des leçons de générosité en permanence aux français à chaque campagne électorale, qu'ils fassent leur B.A en se les répartissant. Après tout nous payons grassement ces fainéants d'intermittents donneurs de leçons !
Signaler un abusSezam1
Importe le quart-monde et tu deviens le quart-monde ! A lire leur fiche Wikipedia "La Gaîté Lyrique entend répondre à l'urgence culturelle, sociale, démocratique et climatique", on en viendrait presque à leur crier un tonitruant BIEN FAIT ! Que ces gauchiasses à os de poulet dans les cheveux soient virés et la Gaîté rachetée par un investisseur privé qui redonne de l’éclat à ce lieu mythique.
Signaler un abusIrrefragable
Ils ne sont pas mineurs et il n'y a strictement rien qui justifie le maintien de ces migrants sur le sol français. Il est urgent de remigrer tous ces gens dans leurs pays d'origine.
Signaler un abusChargement