Union-Européenne
Encore cinq ans d’Ursula von der Leyen ?
L’actuelle présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen est candidate à un second mandat. Ce désastre serait l’occasion pour elle de faire encore plus de mal à l’Europe sur les cinq prochaines années.
La catastrophe n’aurait-elle fait que commencer ? Haïe par à peu près tout le monde, critiquée pour ses excès fédéralistes et autoritaires, attaquée pour ses innombrables mauvaises décisions, Ursula von der Leyen ne s’en rêve pas moins à nouveau présidente de la Commission européenne. Le pire, c’est que cela pourrait bien arriver.
Un bilan, plusieurs échecs
Proposée en 2019 par le couple Macron-Merkel, Ursula von der Leyen avait tout pour ne pas réussir. Centriste jusqu’au bout des ongles, c’est par l’éternelle alliance entre les sociaux-démocrates, les centristes libéraux et le PPE qu’elle sera élue. Théoriquement issue de la CDU allemande où elle a été, selon beaucoup, « la pire ministre de la Défense », von der Leyen n’a cependant pas eu de peine à se repositionner au centre-gauche avec le temps.
Le règne d’Ursula von der Leyen est d’abord et avant tout celui du fédéralisme européen et de la centralisation bureaucratique des pouvoirs à Bruxelles. Du « green deal » au plan de relance européen post-Covid, des centaines de milliards d’euros ont été remis entre les mains de l’Union européenne avec le soutien actif du centre élargi qui va en France du PS à LR.
Ainsi, ce n’est pas pour rien si von der Leyen est souvent associée à Macron : autoritarisme, mépris et affaires : la présidente de la Commission européenne cumule ! Son bilan diplomatique, lui, n’a pas manqué de froisser la quasi-intégralité des dirigeants des États-membres. Ursula von der Leyen va où elle veut, parle au nom de tout le monde sans consulter personne : bref, elle se comporte comme la présidente des « Etats-Unis d’Europe » qu’elle rêve d’instaurer sur le Vieux Continent. La signature par l’UE de contrats de vente d’armes ou d’achats de vaccins avait particulièrement fait tiquer. Sur ce dernier point, en situation proche du conflit d’intérêt, l’ex-ministre allemande a toujours refusé de li
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2 commentaires
Philibert
Cette “politique” “Diaphane” , “transparente” , sans veritable charisme, passe son temps à discourir en Anglais qui devrait être une langue “obsolete” pour l’U.E. because le Brexit!
Alors que le Français qui est la 2ème langue officielle des organismes Internationaux, ne semble pas avoir bonne presse auprès d’elle
Marie-France FAURE
C’est le genre de personnage qu’il faut absolument empêcher de nuire davantage. Stop !
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