L'Édito de Garen : Salir, mentir, trahir

La gauche a toujours collaboré, c’est dans son essence même. Hier avec les Allemands, aujourd’hui avec les nouveaux envahisseurs. Telle la fable du Scorpion et de la Grenouille, nous pourrions lui demander : « Mais pourquoi as-tu fait ça ? Nous allons mourir tous les deux ! », ce à quoi la gauche française répondrait : « C’est dans ma nature ! ». 

Une illustration éclatante nous en est donnée avec les récents écrits de certains journalistes, Jean-Michel Décugis, accompagné de Pauline Guéna et Marc Leplongeon, dans leur ouvrage Une nuit en France. Ces plumes serviles s’évertuent à réécrire le drame de Crépol pour absoudre les assassins de Thomas et nier l’évidence d’un meurtre animé par la haine des Blancs et des Français, incarnant cette forfaiture contre une nation dont ils prétendent faire partie. 

En novembre 2023, Thomas, jeune Français de seize ans, est sauvagement poignardé à mort lors d’un bal de village à Crépol. Ses agresseurs, issus du quartier grand remplacé de la Monnaie à Romans-sur-Isère, ont surgi en horde, armés de couteaux, semant la terreur et blessant grièvement plusieurs innocents. Neuf témoins rapportent des mots implacables : « On est là pour planter des Blancs ». Une vidéo trahit leur haine : « Vas-y, putain de gwer » – « gwer » qui désigne dans leur dialecte les « Blancs » comme des proies. Les faits sont limpides, la haine raciale éclate au grand jour. Pourtant, nos journalistes, imbibés de la doxa ethnomasochiste, travestissent la réalité jusqu’à l’effacer, profanant la mémoire d’un martyr, martyr de l’invasion. 

Loin d’admettre une expédition punitive raciste, ils dépeignent des « jeunes » égarés, se baladant avec des couteaux à des bals de village non pas pour tuer mais, selon une hypothèse clownesque qu’ils avancent sur les ondes de France Inter, pour « couper leur shit ». Une fable digne des plus belles heures du soviétisme devant une Léa Salamé qui ne dit mot. Ils rajoutent que la «