La France Insoumise : le parti de l'étranger dans l'hémicycle

Depuis l’attaque du 7 octobre, le parti de La France insoumise se démène pour se poser en grand défenseur de la Palestine. Le 4 juin dernier en a été la preuve la plus frappante. En pleine séance à l’Assemblée nationale, l’ancienne députée Rachel Keke a brandi un drapeau palestinien, imitant son collègue Sébastien Delogu une semaine plus tôt. Au-delà du spectacle, il suffit de regarder l’activité parlementaire du parti d'extrême gauche pour s’apercevoir qu’il a fait de la question de Gaza – et d’autres – sa préoccupation pre- mière durant des mois : questions au gouvernement sur la situation en Palestine, propositions de lois pour faciliter la régularisation des clandestins, résolutions pour encourager le boycott d’Israël, inter- ventions en commission pour défendre l’Algérie… Décryptage.
Les liaisons dangereuses : des députés insoumis avec les réseaux terroristes pro-Palestine
Certaines accointances ne trompent plus. Entre collectifs dissous, soutiens affichés à des organisations classées terroristes, et silences gênés face à la violence, plusieurs élus de La France insoumise entretiennent des liens pour le moins ambigus avec les réseaux les plus radicaux de la cause palestinienne.
La radicalisation numérique de la France insoumise
Plongée dans 40 000 tweets de La France Insoumise entre juin 2023 et février 2025, cette analyse, réalisée à l’aide de l’IA, dévoile les obsessions d’un parti en mutation, révélant une gauche qui délaisse ses fondamentaux pour une rhétorique communautaire et polarisante.
LFI, sa nébuleuse de collaborateurs radicaux
Dans les coulisses de La France insoumise, derrière la façade parlementaire, se cache toute une nébuleuse de collaborateurs qui propagent un discours radical. Entre soutiens aux Black Blocs en manifestation, pro-Hamas ou autres prêcheurs en ligne, l’univers gravitant autour de LFI ressemble moins à un parti qu’à un écosystème militant hors de tout cadre républicain.
Une cartographie interactive de l’extrême gauche : pourquoi faire ?
Frontières publie un outil inédit : une vaste cartographie interactive de l’extrême gauche française.
Frontières publie l’origine des patronymes de la prison de Fresnes : 53,2% des prénoms sont de tradition musulmane
Frontières a obtenu la liste des noms et prénoms des prisonniers de la maison d’arrêt de la prison de Fresnes. Nous dévoilons en exclusivité ces données : 53,2 % des prénoms des détenus sont de tradition musulmane et 64,9 % des patronymes sont d’origines extra-européennes.
DSUV : le mécanisme dans l'ombre de l'AME
Le Dispositif de Soins Urgents et de Soins Vitaux (DSUV) permet aux étrangers en situation irrégulière, non admissibles à l'AME, de recevoir des soins d'urgence en France. Financé par un fonds dédié, ce mécanisme échappe à un contrôle public détaillé et représente un coût important pour la Sécurité sociale.
EHESP : comment une haute école de santé formate des fonctionnaires en charge de l'immigration
Idéologie pro-migrants, éléments de langage de l'extrême-gauche, enquête sur le formatage des fonctionnaires et des inspecteurs en charge des politiques publiques des cohésions sociales.
[INFO FRONTIERES] Villeneuve Saint-Georges : Louis Boyard utilise illégalement le logo de la RATP sur sa propagande électorale
Frontières s’est procuré une affiche de campagne de Louis Boyard pour Villeneuve-Saint-Georges. Sur cette affiche, la mascotte de la RATP est représentée, sans le consentement de l’entreprise de transports parisienne.
Enquête sur le lobbying des associations pro-migrants au coeur de l'État
La conséquence de décennies de laxisme migratoire, c’est aussi une accoutumance au phénomène. Par toute la France aujourd’hui, différentes administrations semblent s’être transformées en associations pro-immigration. Enquête.