Politique
[Tribune] L’extrême gauche est le nouveau fascisme
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La réalité est sans appel : l’extrême gauche est le nouveau fascisme. Non pas dans la caricature qu’elle aime projeter sur ses adversaires, mais dans l’essence même de son comportement. Elle traque, harcèle, censure. Elle pourchasse les idées dissidentes avec une rage qui n’a rien à envier aux polices de la pensée des régimes totalitaires du XXe siècle.
La chasse aux médias est devenue son sport favori. La fermeture de C8, réclamée haut et fort par La France insoumise et ses relais militants, marque en cela une étape inquiétante. Qu’un courant politique réclame — et obtienne — la disparition d’un média qui lui est défavorable devrait alerter tous les républicains sincères. CNEWS est désormais la cible suivante, accusée non pas de mentir, mais de ne pas penser « comme il faut ».
Ce sont désormais tous les espaces d’expression qui échappent à la gauche radicale qui deviennent suspects, illégitimes, à abattre.
Cette entreprise de musellement ne se limite plus aux chaînes de télévision.
Elle s’est désormais insinuée au cœur de nos institutions, jusqu’à l’Assemblée nationale elle-même, où la liberté de la presse et la pluralité des opinions devraient pourtant être inattaquables. Récemment, les journalistes du média indépendant Frontières, dont le sérieux et la liberté de ton dérangent l’hégémonie idéologique de la gauche radicale, ont été la cible d’une mobilisation coordonnée. Le mercredi 9 avril 2025, une manifestation a été organisée devant le Palais Bourbon par la CGT, appuyée par des députés communistes, socialistes et insoumis, pour exiger le retrait de leur accréditation parlementaire.
Dans l’enceinte même de la représentation nationale, ces journalistes ont été pris à partie, invectivés, intimidés, parfois physiquement entravés par des députés qui, grisés par leur propre radicalité, se sont crus autorisés à piétiner les règles du respect démocratique.
Aucun mot d’excuse. Aucune condamnation officielle de la part de la présidente de l’Assemblée nationale, pourtant si prompte à dégainer des rappels à l’ordre quand un député situé plus à droite hausse le ton.
Il ne s’agit pourtant plus d’incidents isolés mais d’une logique, d’un système, d’un régime en devenir. Un régime où l’on décide qui peut parler, qui peut informer, qui a le droit d’exister médiatiquement. L’extrême gauche ne veut pas gagner le débat : elle veut seulement empêcher qu’il ait lieu.
À cette dérive liberticide s’ajoute un autre poison, plus ancien et plus insidieux, que l’extrême gauche laisse proliférer dans ses rangs : l’antisémitisme.
Depuis le 7 octobre, le masque est tombé. Sous couvert d’antisionisme, c’est une véritable hostilité envers les Juifs qui se déverse, sans retenue, dans les meetings, sur les plateaux TV, dans les amphis, dans les manifs…
Des drapeaux palestiniens sont agités frénétiquement par des militants qui, pour la plupart, étaient bien incapables de situer la Palestine sur une carte il y a encore quelques mois.
Et derrière cette agitation pseudo-révolutionnaire, on retrouve le plus souvent la même sociologie : des privilégiés issus des beaux quartiers parisiens, élevés dans le confort bourgeois qu’ils feignent de vomir, en pleine crise d’adolescence prolongée.
Ces gens s’inventent des luttes qu’ils ne vivent pas, singent la colère des quartiers populaires dont ils ne connaissent rien, et s’acharnent à parler au nom de banlieues dans lesquelles ils n’ont jamais mis les pieds. Ils ne prennent aucun risque, n’assument aucune contradiction, ne produisent aucune idée. Ils ne défendent pas les opprimés : ils se défendent eux-mêmes de leur ennui existentiel.
Qu’importe que ces mêmes militants, s’ils venaient à poser un pied sur un territoire contrôlé par le Hamas ou le Djihad islamique, verraient leur espérance de vie se réduire drastiquement à la première provocation.
Qu’importe, aussi, que le Hamas soit une organisation classée comme terroriste par l’Union européenne, les États-Unis, le Canada, l’Australie ou encore le Japon… Pour les députés LFI, cela ne semble avoir aucune importance.
Dans leur vision du monde déformée par une obsession anti-occidentale, le Hamas n’est plus un groupe terroriste mais une prétendue « résistance », y compris lorsqu’il égorge des civils, brûle des familles entières ou prend des enfants en otage. La barbarie devient « réaction », le crime devient « conflit », et la terreur s’habille des mots de la cause.
En bref, l’extrême gauche, a lancé son entreprise d’embrigadement et d’épurement idéologique. Il faut désormais en tirer toutes les conséquences, car c’est une menace pour nos institutions, nos libertés et notre cohésion nationale.
Ceux qui aiment la France, qui aiment la liberté, qui croient à la force du débat démocratique, doivent se lever. Face à des gens qui veulent la mort de la France telle que nous l’aimons, nous avons le devoir de tenir bon.

4 commentaires
Il n'y a qu'un seul point qui empêche la qualification de LFI de mouvement fasciste, c'est le côté patriote , vu comment ils crashent sur la France et son drapeau...
Nouveau fascisme ou ancien nazisme, puisque le National socialisme était... socialiste. Juste un retour aux sources, donc.
ocps69
Il fut un temps ou même le secrétaire général du parti communiste M. Georges Marchais et même un socialiste, le président de la République de l'époque qui était M. François Mitterand, dénonçait la trop grande immigration et les dangers pour les emplois, et je parle là du début des années 1980, quand il existait encore une vrai gauche, et non pas des pseudos gauchiste avec leurs mouvements "antifasciste" qui sont extrêmement violent, alors que les pseudos fascistes ont n'en voient pas, les "antifas" actuel sont de vrais chemises brunes ! Ils s'attaquent à tout ceux qui ne partagent pas les mêmes idées qu'eux. Ses mouvements devraient être interdit et dissout, tout comme LFI et les ayatollas de l'écologie "punitive".
CITOYEN 37
Ami Bruno, C'est toujours avec plaisir et fierté que l'on découvre sur Frantières, un article rédigé par un élu du Rassemblement National. Plaisir, parce que les mots sonnent JUSTE, et Fierté, parce que l'on se félicite à chaque fois, d'avoir choisi la bonne organisation politique. Cette dérive islamo-gauchiste de la "gauche", date de mitterrand. En acceptant de se compromettre avec les opportunistes de la sociale démocratie PS, les cocos avaient signé leur acte de décès. La fin de l'URSS a achevé le travail. Plus de doctrine en faveur des "prolos", plus de morale politique, la course à la survie électoraliste les conduit à faire du mélenchon. Pareil pour les zécolos, dont la pression punitive en direction des Citoyens, les conduit à racoler les voix des" étrangers nés en France". Quant au PS et ses affidés, ils sont restés au temps de la SFIO, et de ses trahisons. Cette gauche apatride rejoint la macronie dans son mondialisme fou. En face, il n'y a plus que le Rassemblement National et son allié UPR, pour revendiquer le devoir de défendre la France. Nous sommes pressés de voir s'organiser le congrès constitutif de l'Union Nationale, qui rassemblera autour d'un projet d'avenir pour la France, TOUT ce que la France compte de Citoyens Patriotes, nationalistes, et soucieux de redonner à la France sa SOUVERAINETÉ... et sa LAÏCITÉ! Merci à vous.
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