Le panafricain anti-France Kemi Seba pourrait perdre sa nationalité française

Actif depuis 20 ans dans les milieux suprématistes noirs, l’activiste Kemi Seba – de son vrai nom, Gilles Kapochichi – pourrait bien être sanctionné pour son opposition permanente aux intérêts français. Il a indiqué avoir reçu une lettre des autorités françaises lui signifiant qu’il pourrait perdre la nationalité dont il jouissait depuis toujours dans le but de nuire à la France.

Kemi Seba : pro-russe, suprématiste et antisémite

Ayant commencé la politique dans l’organisation raciste et antisémite Nation of Islam, il s’est toujours positionné en faveur de la « race noire » qui aurait, selon lui, été exploitée par les Blancs. Adepte du révisionnisme historique et des théories complotistes, il partage avec son amie suisse Nathalie Yamb une haine de l’Occident. Se revendiquant kémite, c’est-à-dire, croyant dans les dieux égyptiens, il est également proche de certains néonazis avec qui il a en commun la haine des Juifs.

Depuis plus de dix ans maintenant, Kemi Seba se fait conférencier et activiste aux quatre coins de l’Afrique francophone dans le but de réduire au maximum la présence occidentale en Afrique, notamment celle de la France. Propagandiste payé par le Kremlin pour soutenir les exactions de Wagner en Afrique, il défend désormais l’influence russe qu’il voit comme anti-impérialiste. Croyant dans les théories historiques absurdes de l’historien sénégalais militant Cheikh Anta Diop qui explique que les pharaons étaient tous noirs, mais que les Blancs ont réécrit le passé pour se mettre en avant. Un historien, vous dit-on.

Défendu par l’avocat d’extrême gauche Juan Branco, il combat ardemment les intérêts français, mais n’hésitait pas jusque récemment à utiliser sa double nationalité française (il est aussi béninois) pour voyager facilement, notamment en France dans le but d’exciter le ressentiment anti-Blancs.

Pour réagir à cette décision des autorités françaises, Gilles Capochichi a déclaré que « Vous avez déclenché une guerre coloniale et croyez-moi, vous ne la gagnerez pas. Vous êtes tombés sur le mauvais noir. » Charmant.

 

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