Jordan Bardella fustige la SNCF et appelle à la mobilisation face à la censure de l’extrême-gauche

La publication prochaine du livre Ce que je cherche (Fayard 2024) de Jordan Bardella, soulève une tempête idéologique au cœur des infrastructures publiques françaises. Prévue dans les gares françaises du 11 au 17 décembre prochains, via des panneaux publicitaires gérés par Mediatransports, la campagne de promotion de l’ouvrage a finalement été refusée, ce qui suscite des débats autour de la liberté d’expression, de la neutralité de l’espace public et de l’influence des syndicats de gauche au sein de la SNCF. Cette décision, justifiée par Mediatransports face aux pressions de syndicats comme la CGT-Cheminots et Sud Rail, a provoqué une réponse explosive de Bardella, qui appelle les Français à se mobiliser contre cette censure. 

Bardella et le « dérapage grave » de la SNCF

La régie Mediatransports, qui gère la publicité dans les gares SNCF et le métro parisien, a expliqué ce refus en invoquant son « principe de neutralité ». À l’origine, le contrat avait été signé avec la maison d’édition Fayard, sans précision sur l’identité de l’auteur. Une fois la nature du livre connue, les visuels devaient encore être soumis pour validation selon les règles de neutralité qui encadrent la SNCF en tant qu’entreprise publique. Mediatransports s’est ainsi appuyée sur sa charte de neutralité politique et religieuse pour justifier ce blocage. Alexandra Lafay, directrice de communication de Mediatransports, a précisé que la régie restait ouverte à une « révision du message » pour éviter tout manquement à ces principes.

L’heure est grave pour la liberté d’expression.

À l’appel des syndicalistes d’extrême gauche, la SNCF censure ma campagne de publicité prévue par le